Joyeuses retrouvailles (Pv : Athé)

*Henri-Jules, après s'être promené dans la Galerie des Glaces, après avoir retrouvé Monsieur et son frère, se promenait maintenant dans l'Orangerie. Il avait envie de revisiter toutes les parteis du château, et il commençait donc par les lieux qu'il préféraient. La Galerie des Glaces et l'Orangerie arrivaient largement en tête. Depuis qu'il était revenu à Versailles (c'était il y a seulement quelques heures, mais bon...) à chaque fois qu'il avait voulu voir quelqu'un, il l'avait vu. Il faut dire aussi qu'il forçait le hasard. Il allait dans tous les lieux que ses amis préféraient, et il attendait de les voir. Ca avait marché avec Monsieur, et il espérait maintenant que ça marcherai avec sa grande amie Athénaïs. Celle-ci se promenait de temps en temps dans ce lieu magique, qui sentait bon la fleur d'oranger.
Il s'assit sur un banc, et contempla ce que la nature, en l'espace de quelques années, avait transformé en de magnifiques arbres.*

HJ: Ah donc on dest potes? lol ok

*Athénaïs, en effet, adorait l'Orangerie. C'était pour le moment et sans conteste l'endroit de Versailles qu'elle préférait... Toutes ces allées d'orangers et autres arbutes qui sentaient si bon, la vue sur la forêt d'un cotém et d el'autre la magnifique architecture du Palais qui prenait forme, tout lui plaisait: De plus, en sachant choisir ses heures, on pouvait s'y trouver bien tranquille afin de méditer sans être troublé. Elle décida alors de s'y promener une dernière fois avant que de s'en retirer chez elle à Paris quelques temps: en effet, sa grossesse arrivait à son terme et elle devait retourner chez elle.
Se croyant seule en ces lieuxm elle se mit à chantonner*

Hj : Ben oui tant qu'à faire ! Si ça te dérange pas, bien sûr !

*Henri-Jules commençait à partir dans ses rêves, à repenser à tout son passé, comme à chaque fois qu'il se sent triste. Mais tout à coup, il entendit chantonner. Il se leva pour aller voir qui chantait, et eu la magnifique surprise de voir son amie Athénaïs. Il lui sourit, puis s'approcha d'elle.*

-Athénaïs ! Quel plaisir de vous revoir ! Je pensais justement à vous !

*Plus il approchait, plus il se disait que quelque chose avait changé. Puis en baissant les yeux sur son ventre, il comprit. Et il se demanda surtout comment il avait fait pour ne pas s'en rendre compte plus tôt. Décidemment, il faudrai qu'il fasse plus attention aux gens qui l'entourent.*

HJ: oh non bien sur que non au contraire

*surprise d'entendre une voix l'interpeler, Athénaïs arrêta de chanter et se trouva nez à nez avec Henri-Jules. Quelle bonne suprise! cela fasait si longtemps ! Elle l'accueiullit avec un grand sourire et lui tendit les bras*

-Oh ! Vous ici! Quelle joie ! SI je m'y attendais...

*elle eut un petit rire, toute contente de revoir son ami*

-Mais enfin oüétiez-vous passé?

*Henri-Jules prit le bras de son amie, et commença à marcher doucement.*

-J'étais parti sur mes terres pour réflechir un peu, et pour m'éloigner un peu de la Cour. Mais je vois que j'ai raté pas mal de choses !

*Il avait dit cela en riant, regardant toujours le ventre bien rond d'Athénaïs. S'il avait sû, il serait revenu plus tôt, c'est certain. Mais, même enceinte, elle était toujours aussi belle et aussi fraiche, ce qui plaisait tant aux hommes. Mais Henri-Jules la voyait comme une amie, pas comme une possible maîtresse.*

*Athénaïs était toujours ravie de se promener en compagnie 'un ami sincère comme l'était Jules-Henri. S'apercevant qu'il n'aait pas été mis au courant de sa grossesse, elle se mit à rire de plus belle*

-A votre air surpris, je devine que vous ne vous ttendiez pas à me trouver aussi ronde?

*Elle lui sourit un peu sombrement*

-Oui, malheureusement il va me falloir quitter la Cour quelques temps... Il faut que cela tombe au moment oü vous revenez...

*déçue*

*Henri-Jules rit avec elle, puis la regarda.*

-Vous souhaitez accoucher à Paris ?

*Il réfléchit un instant, puis retrouva son sourire.*

-Et bien Paris n'est pas si loin, et si ce n'est que là que vous allez, je pourrais vous rendre visite !

*Il espérait que c'étit à Paris et non ailleurs que son amie souhaitait partir. Car si elle allait plus loin, il ne pourrait effectivement pas aller la voir. Et c'était une très bonne amie, et la quitter à nouveau serait difficile pour lui.*

*Athénaïs hocha la tête*

-Eh bien oui... S'il n'en tenais qu'à moi, je resterais à la Cour indéfiniment, mais mon mari souhaite m'avoir auprès de lui, et d'autant plus pour l'arrivée de son enfant. Il espère tellement avoir un garçon cette fois...

*elle sourit alors à la perspective de recevoir de ses visites*¨

-Oh vraimentm vous viendriez me visiter??

*A cette idée, son coeur s'emplit de joie*

*Henri-Jules, en entendant son amie dire qu'elle serait à Paris retrouva tout de suite son sourire.*

-Bien sûr que je viendrai ! Enfin... Si votre mari le permet !

*Il n'y avait pas de raison qu'il refuse, mais on ne sait jamais. Un homme peut parfois être très surprenant. Mais aussi très jaloux. Et, à sa place, Henri-Jules ne laisserai même pas la belle Athénaïs sortir de chez elle. Elle était tellemnt belle que tous les hommes lui tournaient autour. Certain la regardaient même comme si elle était un animal de cirque. Mais Henri, lui, la regradait comme une amie, et il ne la regarderai jamais autrement.*

-Cela me permettra de retourner un peu dans mon hotel, car cela fait des années que je n'y suis point allé ! Seuls mes domestiques vivent encore là-bas.

*Il repensa à ses jardins. S'ils avaient été mal entretenus, le jardinier entendrai parler du monde ! Et puis après son accouchement Athénaïs pourra venir le voir à son tour. Finalement, cela le remplissait de joie de retourner à Paris, pour plein de raison différentes.*

*Rassurée, Athénaïs serra sa main dans la sienne*

-Oh je vous remercie, cela me touche beaucoup. Ne vous en faites pas, Louis-Henry acceptera sans nul doute. De plus, il est rarement à la maison, ses affaires l'occupent beaucoup et il sera ravi d'apprendre que mon illustre ami est là pour moi.

*Elle ne se doutai pas que son hotel était vide*

-Ah, je comprends mieux à présent pourquoi mes lettres sont restées sans réponse... Quelle sotte j'ai été de vous écrire à Paris !

*son rire fin et délicat retentit de nouveau*

*Henri-Jules sourit, puis fut, comme d'habitude, enchanté par le rire de la jeune femme.*

-Oui, mes domestiques y sont, mais ils attendent toujours mon retour pour me donner les lettres. Mais j'aurai en plus le plaisir de vous lire en arrivant chez moi ! Décidemment, ce petit séjour à Paris sera très joyeux pour moi !

*Il était tout content d'être revenu à Versailles, et sera aussi très heureux de retourner à Paris. Mais il faudra qu'il envoie une lettre à ses domestiques pour leur dire de faire du feu.*

-Votre mari va bien j'espère !

*Athénaïs lui sourit, amusée par son zèle habituel*

-Eh bien, j'ose espérer qu'ils ne vous ont pas attendu pour se chauffer, les malheureux...
Mes lettres ne vous apprendrons plus rien à présent, je m'enquiérais de votre santé et vous donnais des nouvelles de la Cour...

*elle haussa les épaules*

-Oh, il va comme on peut aller...

*elle posa une main sur son ventre arrondi*

*Henri-Jules lui sourit. Avec elle, il était toujours heureux, sans savoir pourquoi. Et puis en ce moment il n'avait aucune raison de ne pas l'être.*

-Et bien ce n'est pas grave ! Je verrai au moins ce qu'il s'est passé pendant mon absence !

*Puis il la regarda.*

-Et bien vous lui direz le bonjour de ma part ! Quand repartez-vous à Paris ?

*Il espérait que ce ne serai pas trop tôt, qu'il ai le temps de profiter un peu d'elle à la Cour. Et qu'il ai aussi le temps de revoir quelques amis.*

*La marquise eut un petit rire*

-Si cela vous chante...

*Elle hocha la tête avec un sourire en coin*

-Fort bien, je le lui dirai...

*elle prit une grande inspiration*

-Das 3 jours, malheureusement...

Oh que le temps passe vite...

*Henri-Jules lui sourit.*

-Vous avez raison de partir, parce que tout ce bruit fatigue plus qu'autre chose ! Et je ne serai pas triste de partir.

*Il le pensait réellemnt. Le bruit que les ouvriers faisaient en permanence devenait insuportable. Il en avait marre et ce petit séjour à Paris ne lui ferait pas de mal. En plus, io adorait cet hotel parce qu'il était calme, et que ses domestiques étaient des anges.*

*La marquise hocha la tête*

-Il est vrai, mon ami, mais les réjouissances de la Cour sont tellement divertissantes...

Elles parviennent à me faire oublier mes tourments...

*Elle le regarda dansles yeux avec une pointe d'étincelle*

-Et puis la Cour va bientôt repartir pour Saint Germain...

*triste à l'idée de ne pas y être*

*Il lui sourit, étant tout à fait d'accord avec elle.*

-Oui, c'est vrai. Mais je ne sais pourquoi, je n'ai eu aucun mal à les oublier.

*Il avait eu tôt fait de penser à autre chose, avec tout ce qui se passait dans sa vie. Mais il est vrai que Saint-Germain était un lieu apprécié de tous.*

-C'est vrai, mais dans votre état, vous n'airiez pas pû faire grand-chose. Et puis le voyage aller et retour vous fatiguerai.

*Elle n'avait pas l'air très fatiguée, mais il était certain que ce voyage serait épuisant.*

*Elle eut un petit soupir, elle savait qu'il avait raison...*

-Je le sais, mon ami... je le sais...

*soudain elle sentit le bébé bouger, ce qui la fit sourir*

-oooh!

*Henri-Jules s'approcha pour toucher le ventre de son amie. En arrivant ici, il s'attendait à tout sauf à la trouver enceinte. Mais s'il avait demandé à ses domestiques de lui renvoyer son courirer, il l'aurait certainement sû. Maintenat, il s'en voulait de ne pas avoir été là lorsqu'elle avait apprit cette nouvelle. Elle avait dû en être très heureuse.*

-Et bien, ce petit bout de chou ne devarit plus tarder, maintenant ! Je ne vous ai même pas demandé quand vous pensiez qu'il arriverai ?

*Il avait complètement oublié, mais cette nouvelle l'avait complètement surpris, et il n'était plus vraiment sur terre. Mais il était très heureux, et il allait enfin retrouver son hotel de Paris.*

*Athénaïs prit la main de son ami et la posa sur son ventre pour qu'il sente le bébé. Elle sourit, amusée.*

-ce n'est rien... je pense d'ici 2 semaines je pense... peut-être plus tôt...

*Elle se mordit la lèvre... l'accouchement l'angoissait toujours, même si elle avait déjà eu un enfant.*

*Henri-Jules sourit en sentant le bébé. Il se disait que ça devait procurer beaucoup de bonheur, de devenir parents. Il remarqua que son amie semblait avoir peur, comme la première fois. Pourtant, il n'y avait pas de raisons. Tout s'était bien passé la première fois, il n'y avait pas de raison que cela se passe mal cette fois-ci. Il essaya donc de rassurer Athénaïs.*

-Pourquoi semblez-vous soucieuse ? Vous savez bien qu'il n'y a pas de quoi. Tout était passé très vite, lors de votre premier accouchement.

*Il lui sourit, reprenant son bras, et recommençant à faire quelques pas dans l'Orangerie.*

*Prenant son bras et lui emboitant le pas, Athénaïs baissa la tête et lui répondit.*

-Vous savez très biem qu'un accouchement n'est pas chose anodine... Chaque fois, il y a des risques... En plus, je crois que mon mari ne sera pas là... Je vais passer un mois seule avec les domestiques et ma fille...

*Elle laissa échapper un petit soupir.*

-Je déteste la solitude !

*Henri-jules serra son bras, et lui sourit.*

-Mais vous ne serez pas seule ! Je serais là, moi. Et si vous suhaitez que je reste auprès de vous, je resterais.

*Il n'aimait pas voir Athénaïs soupirer et avoir peur, et il se promit de tout faire pour y remédier.*

-Je ne vous laisserez pas seule ! Sauf, bien sur, si vous ne voulez pas de moi.

*Il lui sourit, se doutant qu'elle ne lui dirait pas non.*

*Ele le regarda alors, les yeux remplis d'étoiles.*

-oh, vous êtes vraiment un amour, Jules. Bien sûr que vous serez le bienvenu !

*Athénaïs se sentit alors rassurée et bien heureuse d'avoir un ami aussi erviable que pouvait l'être le Prince, malgré son rang, il savait s'occuper des perosnnes qui lui étient chères.*

*Henri-Jules sourit et, en voyant des étincelles dans ses yeux, il comprit qu'elle en serait ravie.*

-Mais c'est un plaisir pour moi, que de vous rendre service ! Vous êtes une grande amie, Athénaïs.

*Si on ne le connaissait pas, on pourrai croire qu'il était en train de draguer. Mais la Marquise le connaissait, et elle comprendrai surement que c'st encore un de ses élans d'amitié.*